Des merveilles inexplorées.
Le temps est révolu pour que la face cachée de l’Ayiti dont les fils conséquents et dignes ont toujours rêvée puisse enfin voir le jour. Le moment est maintenant venu pour que nous soignions de par nous-même notre image. Nous ne pouvons plus continuer à rester bouche bée face aux insultes des étrangers

À la découverte de nos sites historiques et touristiques.
Il est certain, que vous ne sachiez pratiquement rien d’Ayiti, sinon que les images les plus abjectes que la plupart des médias étrangers projettent d’elle, si vous désirez en savoir, il faut venir vous-même faire de nouvelles découvertes sur cette terre encore vierge.

08 diciembre, 2013


Le prisonnier 46664 après avoir passé 27 ans incarcéré est
devenu le plus célèbre prisonnier/président d´un pays où les noirs étant en
majorité étaient encore considérés comme des moins que rien, il dormait à même
le sol pour une cause juste qu´il a su défendre avec ardeur et adresse.
Après
s´être libéré, il ne nourrissait aucun sentiment de vengeance encore moins de
la haine, mais plutôt imprégner par ce vouloir d´unifier son pays décimé par la
guerre civile fruit d’un apartheid sans
merci. Ses compatriotes le croyait terrifier et assez horrifié afin de tirer sa
revanche mais, la première chose qu´il a faite en guise de se venger, c´est de
placer comme son premier ministre Peter Botta son adversaire qui l´a incarcéré
pendant presque plus de 3 décennies. N´est-ce pas un geste de dépassement de
soi?
Maintenant, il n´est pas seulement question de pleurer sa
mémoire, il est plus qu´évident de se demander à l´heure qu’il est qui serait prêt
à faire de tel sacrifice, pardonner à celui ou à ceux qui t´ont torturé et
humilié au plus profond de ta personne, afin de construire une nation sur la
vertu et les vraies valeurs républicaines, et sur un Etat de droit existant en
dehors des raisons d’Etat. Je vois vraiment mal ceux qui après la mort de Nelson
Mandela versent des larmes de crocodiles, les connaissant, à grand jamais l’avarice
du pouvoir ne leur aurait permis de pardonner en vue d’unifier la voile déchirée
de l’union, plutôt rendre la pareille à son ou ses adversaires. A tous ceux qui
laissent primer leur orgueil politique et leur cupidité sur les valeurs républicaines
et démocratiques, je vous partage la réponse de Nelson Mandela, à ceux qui lui
avaient conseillé de rendre la pareille à son adversaire, et je crois fermement
que l’Afrique du Sud a recouvré son unité par la mise en application de cette
phrase « Nous n’avons pas
le droit d’oublier le passé, mais nous avons le devoir de le transcender »
Telle, a été la réponse du grand maitre à son peuple… Et c’est en transcendant
le passé que son pays est devenu le plus grand pays de l’Afrique.
Et je souhaite que ceux qui ce jourd’hui honorent sa mémoire que vous soyez politiques ou
simples citoyens mettiez en application son enseignement.
16 octubre, 2013


les causes
qui meurent sont celles pour lesquelles personne ne meurt. disait l´autre. Le
17 Octobre me rappelle malgré ma longue distance, la prouesse de notre Héro
sans égal qui nous a libéré de la barbarie des peuples, qui à l´heure qu´il est
se disent être civilisés, cette journée historique me rappelle la vision
bafouée du premier leader noir du monde ayant implémenté le concept
d´autodétermination des peuples dans une sphère poluée de colonialisme, de
néocolonialisme et ses corollaires. Cette journée historique me rappelle la
perte de notre identité et de notre indépendance puisque la mort prématurée de
notre leader a tout emportée.
Cette journée historique que je vais passer en
dehors du pays me permet de déceler une réalité: les esclaves au prix de leurs
vies afrontaient le danger pour nous libérer de l´esclavage, par contre les
potentats d´aujourd´hui vendent à l`encan l´effort consenti par nos Aïeux.
L´homme en soi valorise les choses qu´il acquiert à la sueur de son front, mais
quand c´est le fruit de l´effort de l´autre il s´en fout pas mal. Moun ki pè
mouri paka bay lavi, moun ki pa renmen madanm ni pa janm kontwi bon fanmi,
konsa tou moun ki pa gen peyi paka gouvène ni chanje. Je crois plus que jamais
que la cause cruciale que nous avons á défendre, c´est de nous efforcer à ne
plus être le seul PMA de l´Amérique. Où sont-ils? Ceux étant prêts à mourir pour cette cause. Si les esclaves
illetrés, qu´ils fussent avaient fait le plus grand exploit, nous autres qui se
disent être érudits nous aurions du prendre le relais. Notre cause à
défendre c´est de plus être le prototype de l´échec de peuple ayant accédé à
l´indépendance. Pour ce faire,
nous avons besoin d´un tout, ou la conjugaison des ressources humaines,
matérielles, économiques et financières. En outre des hommes et des femmes de
caractère...
Ce 17
Octobre me rappelle Dessalines Notre père qui nous a libéré et qui est tombé
peu après sous les projectiles de ses propres frères, ce jour triste et fade
m´a atrophié. Je suis abattu…
10 septiembre, 2013


Le cancer du sein est responsable de
plus de 11 000 décès en France chaque année. Plusieurs facteurs peuvent
augmenter votre risque de développer cette maladie. Si certains sont innés,
d’autres sont modifiables. Découvrez-les sans attendre !
C’est la combinaison de facteurs
génétiques et environnementaux qui peuvent aboutir à l’apparition d’un cancer.
En les passant en revue, nous pouvons
souligner l’importance de facteurs scientifiquement établis, ou ceux qui
restent l’objet de vives controverses.
Age,
facteurs génétiquement et histoire familiale
Même si le cancer du sein peut
survenir à n’importe quel âge, son risque d’apparition augmente avec le
vieillissement. Il double approximativement tous les 10 ans jusqu’à la
ménopause. Au-delà, il continue d’augmenter mais moins intensément1.
Si plusieurs cas de cancers du sein
sont déjà connus au sein de votre famille, cela peut augmenter votre propre
chance de développer la maladie. Dans les pays développés, entre 5 et 10 %
des cas sont liés à des prédispositions génétiques. Ce qui équivaut chaque
année en France à 1 700 à 3 400 cas.
Plus précisément, le risque de
cancer est deux fois plus élevé chez les femmes dont les proches (soeurs, mères
ou filles) ont développé un cancer du sein avant 50 ans. Plus jeune est l’âge
d’apparition de la maladie, plus le danger est grand. Ainsi, une femme dont la
soeur a développé un cancer à l’âge de 30-39 ans a un risque cumulatif de 10 %
d’être elle-même touchée avant 65 ans, mais ce risque chute à 5 % si sa
soeur était âgée de 50-54 ans au moment du diagnostic. Le danger augmente
également lorsque plusieurs proches sont touchées. Une femme ayant deux proches
atteintes de cancer du sein dont un âgée de moins de 50 ans au moment du
diagnostic a 25 % de risque de développer un cancer avant 65 ans1.
A l’origine de ce danger, on trouve
certains gènes, dont les plus connus sont BRCA1 et BRCA2
(pour Breast Cancer qui signifie cancer du sein). Ces formes seraient à elles
seules responsables de 95 % des formes familiales héréditaires de cancers
du sein et de l’ovaire, et de 65 % des formes familiales du cancer du sein
seul. Mais d’autres gènes de prédisposition du cancer
du sein ont été identifiés2.
Concrètement, si plusieurs cas de
cancer du sein dans votre famille vous font redouter une prédisposition
génétique, parlez-en à votre médecin ou votre gynécologue. Ce dernier pourra si
besoin vous orienter vers l’une des consultations d’oncogénétique
(génétique appliquée à la cancérologie).
Puberté,
grossesse, allaitement et ménopause
Une puberté précoce
et une ménopause
tardive augmentent la susceptibilité d’être touchée par un cancer du sein3.
Une femme dont la ménopause arrive naturellement après 55 ans a deux fois plus
de risque qu’une femme touchée par la ménopause avant 45 ans.
L’absence de grossesse ou un âge
tardif pour le premier enfant peuvent augmenter les chances d’être touchée par
cette tumeur. Avoir son premier enfant après 30 ans double le risque d’avoir un
cancer du sein par rapport à une femme devenue mère avant 20 ans.
L’augmentation du risque est la plus importante pour les femmes ayant plus de
35 ans lors de leur première grossesse, il est même supérieur à celui des
femmes n’ayant pas d’enfant. Un jeune âge lors du second enfant réduit aussi la
probabilité d’être malade. L’allaitement aurait également un rôle protecteur
vis-à-vis de l’apparition du cancer du sein avant la ménopause4,5.
Maladies bénignes du sein
Victime de son succès, la généralisation de la mammographie rend plus fréquente la détection d’anomalies du sein. Si la majorité des kystes, tumeurs et cellules suspectes n’augmentent pas le risque de cancer du sein, d’autres lésions s’avèrent plus dangereuses. Les prélèvements par biopsie permettent de distinguer les lésions non prolifératives, constituées de cellules qui se divisent très lentement ; les lésions prolifératives, constituées de cellules se divisant rapidement et les lésions atypiques, constituées de cellules anormales se divisant rapidement. Par rapport à la population générale, la présence de ces lésions a peu d’influence6. Pour la majorité des femmes (touchées uniquement par des lésions non prolifératives) l’augmentation du risque n’est pas très importante, largement moins important que celui lié aux mutations génétiques de type BRCA. Pour en savoir plus, lire notre article "Lésions bénignes du sein : quels sont les risques ?".Pilule et traitement hormonal de la ménopause
Les scientifiques considèrent que le danger lié à la pilule contraceptive est très faible, voire négligeable7,8.En 2003 et suite à différentes études alarmantes9,10, l’utilisation des traitements hormonaux substitutifs de la ménopause (THS) était limitées11,12 : ils ne doivent être prescrits que si les troubles du climatère (principalement bouffées de chaleur) altèrent la qualité de vie des patientes, qui devront être clairement informées des effets secondaires de ces produits. La prescription devra se faire à la dose minimale efficace, pour une durée la plus courte possible avec des réévaluations régulières.
L’augmentation du risque de cancer du sein dépend du produit utilisé. Selon les données françaises de l’étude E3N, il est important pour les combinaisons estroprogestatives (+ 80 %), quelle que soit la durée du traitement sauf pour les combinaisons estrogène + progestérone micronisée, pour lesquelles aucun lien n’a été observé. Les associations d’estrogènes et de rétroprogestérone induirait un sur-risque de 30 %. Enfin, les estrogènes seuls seraient responsables d’une hausse augmenteraient le risque de cancer du sein (+ 40 %), des données à confirmer car elles sont en contradiction avec les études anglo-saxonnes qui concluaient à l’absence de danger de ces produits.
Hygiène de vie
On constate des disparités d’incidence et de mortalité du cancer du sein très importantes d’un pays à l’autre. Il y a ainsi 5 fois moins de cancer du sein au Japon et à Hawaii que dans les pays de l’ouest. Cependant, les migrants présentent les mêmes taux d’incidence que les pays d’accueil, ce qui souligne l’importance des facteurs environnementaux.Concernant l'hygiène de vie, aucun lien n'a pu être clairement établi entre le cancer du sein et une alimentation trop riche en graisse13, une consommation d'alcool ou de tabac. A contrario, l'obésité à l’âge adulte14 mais également durant l'adolescence15 favorise l'apparition de tumeur avant ou après la ménopause. Capable de lutter contre ce surpoids, une activité physique régulière permet de réduire le risque de cancer du sein16. Un temps suspecté, ni les augmentations mammaires17 ni les avortements18 n'ont d'influence sur la survenue de cette maladie.
Pour évaluer votre propre situation,
n’hésitez pas à effectuer notre test exclusif.
Rappelez-vous également que la meilleure protection est de participer
activement au programme de dépistage qui offre tous les deux ans une
mammographie à toutes les femmes de 50 à 74 ans.
David Bême
1 - BMJ, volume 321, septembre
2000 ; p.624-628
2 - NEJM 2003 ;348 :2339-47
3 - Am J Epidemiol. 1988 Nov;128(5):962-79.
4 - Lancet. 2002 Jul 20;360(9328):187-95.
5 - NEJM 1994 ;330 :81-87
6 - NEJM 2005 ;353 :229-37
7 - Lancet 1996 ;347 :1713-27
8 - NEJM 2002 ;346 :2025-32
9 - JAMA, Vol. 288 No. 3, July 17, 2002
10 - Lancet 2003 ;362 :419-427
11 - Traitement hormonal substitutif (THS): mise à jour des recommandations - 3/12/2003
12 - Rapport d’orientation sur les THS de la ménopause - Anaes/Afssaps, 11/5/2004
13 – NEJM 1996 ;334 :356-61
14 - Nutr Cancer. 2003;45(1):1-16.
15 – NEJM 2004 ;351 :1619-26
16 – NEJM 1997 ;336 :1269-75
17 – NEJM 1992 ;326 :1649-53
18 – NEJM 1997 ;336 :81-5
2 - NEJM 2003 ;348 :2339-47
3 - Am J Epidemiol. 1988 Nov;128(5):962-79.
4 - Lancet. 2002 Jul 20;360(9328):187-95.
5 - NEJM 1994 ;330 :81-87
6 - NEJM 2005 ;353 :229-37
7 - Lancet 1996 ;347 :1713-27
8 - NEJM 2002 ;346 :2025-32
9 - JAMA, Vol. 288 No. 3, July 17, 2002
10 - Lancet 2003 ;362 :419-427
11 - Traitement hormonal substitutif (THS): mise à jour des recommandations - 3/12/2003
12 - Rapport d’orientation sur les THS de la ménopause - Anaes/Afssaps, 11/5/2004
13 – NEJM 1996 ;334 :356-61
14 - Nutr Cancer. 2003;45(1):1-16.
15 – NEJM 2004 ;351 :1619-26
16 – NEJM 1997 ;336 :1269-75
17 – NEJM 1992 ;326 :1649-53
18 – NEJM 1997 ;336 :81-5
Source : http://www.doctissimo.fr


Au recoin
de ce petit pays qu’on qualifie comme l’unique Pays Moins Avancé (PAM) de l’Amérique, la notion de vivre en
famille est encore une chose sacrée, par le simple fait que les parents tant
bien que les enfants soient attachés les uns des autres. Les parents
nourrissent toujours le désir de voir leurs enfants grandir ainsi que leurs petits-enfants
sous le seuil de leur maison, car l’idée du communautarisme familial ne s’est
jamais enfouie dans l’entendement ayitien depuis.
Donc, Voir leurs enfants
étant capable de voler de par leurs propres ailes constitue leur plus grande fierté,
néanmoins les avoir encore près d’eux même avec leurs propres familles est
encore un honneur et une joie inaltérable. Par conséquent, cette façon ayitienne de vivre
en communauté plus précisément en famille réunie, est sujette à d’innombrables
critiques. Certaines critiques vont à l’endroit
des jeunes qu’on qualifie de parasites, qui veulent toujours même en étant
adultes bénéficient de la largesse de leurs parents tout en se détournant de
certaines responsabilités ; d’autres vont à l’endroit des parents qui
souhaitent toujours avoir le plein contrôle du foyer de leurs enfants etc. Malgré
les multiples critiques qu’on en fait, cette façon de faire constitue un point
fort dans notre culture qui n’est du tout pas différent de certains pays
européens comme l’Espagne par exemple. Je connais ici en Espagne des gens qui
même à 40 ans sont encore sous le toit de leurs parents, et je suis plus que
certain que les raisons ne sont pas différentes de celles d’Ayiti. Le cas
exceptionnel que j’ai pu rencontrer, c’est un homme de 55 ans qui est encore chez
ses parents. Je ne peux émettre aucune critique, mais tout bonnement je dois
dire que c’est une affaire de culture et lorsqu’on parle de culture nous savons
tous ce qu’elle représente pour un peuple. J’estime n’avoir pas cerné la
question dans tous ces angles, c’est pourquoi je vous lance la balle afin de
faire votre propre analyse. En outre, par le présent article je fais un rappel
à tous les médisants qui voient uniquement le côté négatif du communautarisme
familial sans prendre un peu de temps pour l’analyser sur son angle
sociologique et culturel. Donc, avant de critiquer quoi que ce soit, il faut
bien le cerner, pour ce faire il faut investiguer, car il est mauvais de s’entêter
à dire du mal de ceux qu’on ne connait pas et mésinterpréter les choses qu’on
ignore l’essence…
02 septiembre, 2013


Ces
sept (7) conseils relatifs au maintien en bonne et due forme le ventre sont
donnés à vous tous qui en avez marre d’être ventru. Si vous les suivez assidûment,
il vous sera impossible de tomber dans l’obésité abdominale. Ces derniers temps, nous constatons qu’il y
ait un fort pourcentage d’obésité abdominale à travers le monde, une situation qui est due à une quantité de
graisse
considérable ayant été accumulée au sein du corps. À noter qu’il
y a
4 types d'obésité sont décrits :
- le type I : le surplus de graisse est réparti au niveau du corps sans localisation préférentielle ;
- le type II : l'excès de graisse est concentré au niveau du tronc et de l'abdomen : il est question d'obésité androïde ;
- le type III : l'accumulation de graisse se fait dans l'abdomen : il est question d'obésité viscérale ;
- le type IV : la graisse se localise au niveau des hanches et des cuisses (niveau glutéofémoral) : c'est une obésité gynoïde.
Faites
de l’exercice
De nombreuses études montrent que
pour avoir un ventre plat, un régime ne suffit pas ! Pour perdre la graisse qui
se loge dans notre abdomen, il est nécessaire de pratiquer une activité
physique.
Dormez suffisamment
Des chercheurs américains ont mis en
évidence un lien entre la durée du sommeil et le risque d’obésité abdominale. Ils ont montré que les jeunes
adultes qui passaient moins de 5 heures par nuit dans les bras de Morphée
avaient plus tendance à accumuler de la graisse viscérale que ceux qui
dormaient 6 à 7 heures par nuit. En 5 ans ces petits dormeurs avaient vu leur
taux de graisse viscérale augmenter de 32 % contre 13 % pour ceux qui
affichaient 6 à 7 heures de sommeil. Les mêmes effets du manque de sommeil sont
constatés chez l'adulte.
Evitez les graisses trans
Une étude menée chez le singe a
montré que la consommation de graisses trans même en l’absence d’excès de
calories favorisait la formation de graisse abdominale (2). Les graisses trans
qui sont issues de l’hydrogénation des graisses végétales se trouvent dans tous
les produits industriels contenant des huiles végétales hydrogénés. Pour savoir
comment les contourner, lisez notre article Acide gras trans : comment les
éviter.
Consommez moins de glucides, moins de graisses oméga-6, plus de graisses monoinsaturées et oméga-3
Un régime moins riche en graisses de
la famille oméga-6 (huiles et margarines de tournesol, de maïs), plus riche en
graisses monoinsaturées (huile d’olive, olive, avocat) et oméga-3 (huiles et
margarines de colza, noix) pourrait prévenir l’obésité abdominale, selon des
observations faites par des chercheurs espagnols.
A la suite de ces observations, une
petite étude d’intervention é été conduite chez des volontaires (4). Elle a
vérifié qu’avec un régime riche en graisses monoinsaturées, les graisses
corporelles se concentrent moins dans la région abdominale qu’avec un régime
riche en glucides (pain et dérivés, produits sucrés, pommes de terre).
Cependant, dans cette étude les volontaires souffraient de résistance à
l’insuline.
Une autre petite étude a été
conduite à l’université Yale sur des volontaires en surpoids modéré. Elle
semble confirmer qu’un régime plus riche en graisses monoinsaturées réduit la
graisse viscérale de 33% en 28 jours. Au cours de cette étude, les volontaires
ont perdu près de 4 kilos et près de 5 cm de tour de taille. L’étude n’a pas
encore fait l’objet d’une publication.
Mangez des baies
Une étude de 2009 chez le rat – à
confirmer chez l’homme – a trouvé qu’un régime riche en myrtilles réduit la
graisse abdominale, « même lorsque les rats mangeaient très gras », souligne E.
Mitchell Seymour, de l’université du Michigan. Les antioxydants des myrtilles
(comme les anthocyanes) modifieraient le métabolisme du glucose, à l’origine de
graisse abdominale.
Mâchez de la réglisse
Selon une étude japonaise de 2007,
les flavonoïdes de la réglisse s’opposeraient à l’accumulation de graisse
abdominale (5). Inutile de préciser, si vous voulez essayer, qu’un bâton de
réglisse est plus approprié qu’un bonbon à la réglisse.
Références
(1) Hairston
KG; Bryer-Ash M; Norris JM; Haffner S; Bowden DW; Wagenknecht LE. Sleep
duration and five-year abdominal fat accumulation in a minority cohort: the
iras family study. SLEEP 2010;33(3):289-295March 02, 2010
(2) Kavanagh
K. Trans Fat Diet Induces Abdominal Obesity and Changes in Insulin Sensitivity
in Monkeys. Obesity (2007) 15, 1675–1684; doi: 10.1038/oby.2007.200
(3) Garaulet
M. Site-specific differences in the fatty acid composition of abdominal adipose
tissue in an obese population from a Mediterranean area: relation with dietary
fatty acids, plasma lipid profile, serum insulin, and central obesity. Am J
Clin Nutr. 2001 Nov;74(5):585-91.
(4) Paniagua
JA. Monounsaturated fat-rich diet prevents central body fat distribution and
decreases postprandial adiponectin expression induced by a carbohydrate-rich
diet in insulin-resistant subjects. Diabetes Care. 2007 Jul;30(7):1717-23. Epub
2007 Mar 23.
(5) Aoki F.
Suppression by licorice flavonoids of abdominal fat accumulation and body
weight gain in high-fat diet-induced obese C57BL/6J mice. Bioscience,
biotechnology, and biochemistry 2007, vol. 71, no1, pp. 206-214.
source www.lanutrition.fr.
Suscribirse a:
Entradas
(
Atom
)