08 diciembre, 2013



Le prisonnier 46664 après avoir passé 27 ans incarcéré est devenu le plus célèbre prisonnier/président d´un pays où les noirs étant en majorité étaient encore considérés comme des moins que rien, il dormait à même le sol pour une cause juste qu´il a su défendre avec ardeur et adresse.


Après s´être libéré, il ne nourrissait aucun sentiment de vengeance encore moins de la haine, mais plutôt imprégner par ce vouloir d´unifier son pays décimé par la guerre civile fruit  d’un apartheid sans merci. Ses compatriotes le croyait terrifier et assez horrifié afin de tirer sa revanche mais, la première chose qu´il a faite en guise de se venger, c´est de placer comme son premier ministre Peter Botta son adversaire qui l´a incarcéré pendant presque plus de 3 décennies. N´est-ce pas un geste de dépassement de soi?
Maintenant, il n´est pas seulement question de pleurer sa mémoire, il est plus qu´évident de se demander à l´heure qu’il est qui serait prêt à faire de tel sacrifice, pardonner à celui ou à ceux qui t´ont torturé et humilié au plus profond de ta personne, afin de construire une nation sur la vertu et les vraies valeurs républicaines, et sur un Etat de droit existant en dehors des raisons d’Etat. Je vois vraiment mal ceux qui après la mort de Nelson Mandela versent des larmes de crocodiles, les connaissant, à grand jamais l’avarice du pouvoir ne leur aurait permis de pardonner en vue d’unifier la voile déchirée de l’union, plutôt rendre la pareille à son ou ses adversaires. A tous ceux qui laissent primer leur orgueil politique et leur cupidité sur les valeurs républicaines et démocratiques, je vous partage la réponse de Nelson Mandela, à ceux qui lui avaient conseillé de rendre la pareille à son adversaire, et je crois fermement que l’Afrique du Sud a recouvré son unité par la mise en application de cette phrase « Nous n’avons pas le droit d’oublier le passé, mais nous avons le devoir de le transcender » Telle, a été la réponse du grand maitre à son peuple… Et c’est en transcendant le passé que son pays est devenu le plus grand pays de l’Afrique.
Et je souhaite que ceux qui ce jourd’hui honorent  sa mémoire que vous soyez politiques ou simples citoyens mettiez en application son enseignement.

16 octubre, 2013



 
les causes qui meurent sont celles pour lesquelles personne ne meurt. disait l´autre. Le 17 Octobre me rappelle malgré ma longue distance, la prouesse de notre Héro sans égal qui nous a libéré de la barbarie des peuples, qui à l´heure qu´il est se disent être civilisés, cette journée historique me rappelle la vision bafouée du premier leader noir du monde ayant implémenté le concept d´autodétermination des peuples dans une sphère poluée de colonialisme, de néocolonialisme et ses corollaires. Cette journée historique me rappelle la perte de notre identité et de notre indépendance puisque la mort prématurée de notre leader a tout emportée. 
 Cette journée historique que je vais passer en dehors du pays me permet de déceler une réalité: les esclaves au prix de leurs vies afrontaient le danger pour nous libérer de l´esclavage, par contre les potentats d´aujourd´hui vendent à l`encan l´effort consenti par nos Aïeux. L´homme en soi valorise les choses qu´il acquiert à la sueur de son front, mais quand c´est le fruit de l´effort de l´autre il s´en fout pas mal. Moun ki pè mouri paka bay lavi, moun ki pa renmen madanm ni pa janm kontwi bon fanmi, konsa tou moun ki pa gen peyi paka gouvène ni chanje. Je crois plus que jamais que la cause cruciale que nous avons á défendre, c´est de nous efforcer à ne plus être le seul PMA de l´Amérique. Où sont-ils? Ceux étant prêts à mourir pour cette cause. Si les esclaves illetrés, qu´ils fussent avaient fait le plus grand exploit, nous autres qui se disent être érudits nous aurions du prendre le relais. Notre cause à défendre c´est de plus être le prototype de l´échec de peuple ayant accédé à l´indépendance. Pour ce faire, nous avons besoin d´un tout, ou la conjugaison des ressources humaines, matérielles, économiques et financières. En outre des hommes et des femmes de caractère...
Ce 17 Octobre me rappelle Dessalines Notre père qui nous a libéré et qui est tombé peu après sous les projectiles de ses propres frères, ce jour triste et fade m´a atrophié. Je suis abattu…

10 septiembre, 2013

Le cancer du sein est responsable de plus de 11 000 décès en France chaque année. Plusieurs facteurs peuvent augmenter votre risque de développer cette maladie. Si certains sont innés, d’autres sont modifiables. Découvrez-les sans attendre !
C’est la combinaison de facteurs génétiques et environnementaux qui peuvent aboutir à l’apparition d’un cancer. En les passant en revue, nous pouvons souligner l’importance de facteurs scientifiquement établis, ou ceux qui restent l’objet de vives controverses.

Age, facteurs génétiquement et histoire familiale
Même si le cancer du sein peut survenir à n’importe quel âge, son risque d’apparition augmente avec le vieillissement. Il double approximativement tous les 10 ans jusqu’à la ménopause. Au-delà, il continue d’augmenter mais moins intensément1.
Si plusieurs cas de cancers du sein sont déjà connus au sein de votre famille, cela peut augmenter votre propre chance de développer la maladie. Dans les pays développés, entre 5 et 10 % des cas sont liés à des prédispositions génétiques. Ce qui équivaut chaque année en France à 1 700 à 3 400 cas.
Plus précisément, le risque de cancer est deux fois plus élevé chez les femmes dont les proches (soeurs, mères ou filles) ont développé un cancer du sein avant 50 ans. Plus jeune est l’âge d’apparition de la maladie, plus le danger est grand. Ainsi, une femme dont la soeur a développé un cancer à l’âge de 30-39 ans a un risque cumulatif de 10 % d’être elle-même touchée avant 65 ans, mais ce risque chute à 5 % si sa soeur était âgée de 50-54 ans au moment du diagnostic. Le danger augmente également lorsque plusieurs proches sont touchées. Une femme ayant deux proches atteintes de cancer du sein dont un âgée de moins de 50 ans au moment du diagnostic a 25 % de risque de développer un cancer avant 65 ans1.

A l’origine de ce danger, on trouve certains gènes, dont les plus connus sont BRCA1 et BRCA2 (pour Breast Cancer qui signifie cancer du sein). Ces formes seraient à elles seules responsables de 95 % des formes familiales héréditaires de cancers du sein et de l’ovaire, et de 65 % des formes familiales du cancer du sein seul. Mais d’autres gènes de prédisposition du cancer du sein ont été identifiés2.
Concrètement, si plusieurs cas de cancer du sein dans votre famille vous font redouter une prédisposition génétique, parlez-en à votre médecin ou votre gynécologue. Ce dernier pourra si besoin vous orienter vers l’une des consultations d’oncogénétique (génétique appliquée à la cancérologie).
Puberté, grossesse, allaitement et ménopause
Une puberté précoce et une ménopause tardive augmentent la susceptibilité d’être touchée par un cancer du sein3. Une femme dont la ménopause arrive naturellement après 55 ans a deux fois plus de risque qu’une femme touchée par la ménopause avant 45 ans.
L’absence de grossesse ou un âge tardif pour le premier enfant peuvent augmenter les chances d’être touchée par cette tumeur. Avoir son premier enfant après 30 ans double le risque d’avoir un cancer du sein par rapport à une femme devenue mère avant 20 ans. L’augmentation du risque est la plus importante pour les femmes ayant plus de 35 ans lors de leur première grossesse, il est même supérieur à celui des femmes n’ayant pas d’enfant. Un jeune âge lors du second enfant réduit aussi la probabilité d’être malade. L’allaitement aurait également un rôle protecteur vis-à-vis de l’apparition du cancer du sein avant la ménopause4,5.

Maladies bénignes du sein

Victime de son succès, la généralisation de la mammographie rend plus fréquente la détection d’anomalies du sein. Si la majorité des kystes, tumeurs et cellules suspectes n’augmentent pas le risque de cancer du sein, d’autres lésions s’avèrent plus dangereuses. Les prélèvements par biopsie permettent de distinguer les lésions non prolifératives, constituées de cellules qui se divisent très lentement ; les lésions prolifératives, constituées de cellules se divisant rapidement et les lésions atypiques, constituées de cellules anormales se divisant rapidement. Par rapport à la population générale, la présence de ces lésions a peu d’influence6. Pour la majorité des femmes (touchées uniquement par des lésions non prolifératives) l’augmentation du risque n’est pas très importante, largement moins important que celui lié aux mutations génétiques de type BRCA. Pour en savoir plus, lire notre article "Lésions bénignes du sein : quels sont les risques ?".

Pilule et traitement hormonal de la ménopause

Les scientifiques considèrent que le danger lié à la pilule contraceptive est très faible, voire négligeable7,8.
En 2003 et suite à différentes études alarmantes9,10, l’utilisation des traitements hormonaux substitutifs de la ménopause (THS) était limitées11,12 : ils ne doivent être prescrits que si les troubles du climatère (principalement bouffées de chaleur) altèrent la qualité de vie des patientes, qui devront être clairement informées des effets secondaires de ces produits. La prescription devra se faire à la dose minimale efficace, pour une durée la plus courte possible avec des réévaluations régulières. 

L’augmentation du risque de cancer du sein dépend du produit utilisé. Selon les données françaises de l’étude E3N, il est important pour les combinaisons estroprogestatives (+ 80 %), quelle que soit la durée du traitement sauf pour les combinaisons estrogène + progestérone micronisée, pour lesquelles aucun lien n’a été observé. Les associations d’estrogènes et de rétroprogestérone induirait un sur-risque de 30 %. Enfin, les estrogènes seuls seraient responsables d’une hausse augmenteraient le risque de cancer du sein (+ 40 %), des données à confirmer car elles sont en contradiction avec les études anglo-saxonnes qui concluaient à l’absence de danger de ces produits.

Hygiène de vie

On constate des disparités d’incidence et de mortalité du cancer du sein très importantes d’un pays à l’autre. Il y a ainsi 5 fois moins de cancer du sein au Japon et à Hawaii que dans les pays de l’ouest. Cependant, les migrants présentent les mêmes taux d’incidence que les pays d’accueil, ce qui souligne l’importance des facteurs environnementaux.
Concernant l'hygiène de vie, aucun lien n'a pu être clairement établi entre le cancer du sein et une alimentation trop riche en graisse13, une consommation d'alcool ou de tabac. A contrario, l'obésité à l’âge adulte14 mais également durant l'adolescence15 favorise l'apparition de tumeur avant ou après la ménopause. Capable de lutter contre ce surpoids, une activité physique régulière permet de réduire le risque de cancer du sein16. Un temps suspecté, ni les augmentations mammaires17 ni les avortements18 n'ont d'influence sur la survenue de cette maladie.

Pour évaluer votre propre situation, n’hésitez pas à effectuer notre test exclusif. Rappelez-vous également que la meilleure protection est de participer activement au programme de dépistage qui offre tous les deux ans une mammographie à toutes les femmes de 50 à 74 ans.
David Bême
1 - BMJ, volume 321, septembre 2000 ; p.624-628
2 - NEJM 2003 ;348 :2339-47
3 - Am J Epidemiol. 1988 Nov;128(5):962-79.
4 - Lancet. 2002 Jul 20;360(9328):187-95.
5 - NEJM 1994 ;330 :81-87
6 - NEJM 2005 ;353 :229-37
7 - Lancet 1996 ;347 :1713-27
8 - NEJM 2002 ;346 :2025-32
9 - JAMA, Vol. 288 No. 3, July 17, 2002
10 - Lancet 2003 ;362 :419-427
11 - Traitement hormonal substitutif (THS): mise à jour des recommandations - 3/12/2003
12 - Rapport d’orientation sur les THS de la ménopause - Anaes/Afssaps, 11/5/2004
13 – NEJM 1996 ;334 :356-61
14 - Nutr Cancer.
2003;45(1):1-16.
15 – NEJM 2004 ;351 :1619-26
16 – NEJM 1997 ;336 :1269-75
17 – NEJM 1992 ;326 :1649-53
18 – NEJM 1997 ;336 :81-5
Source : http://www.doctissimo.fr


Au recoin de ce petit pays qu’on qualifie comme l’unique Pays Moins Avancé  (PAM) de l’Amérique, la notion de vivre en famille est encore une chose sacrée, par le simple fait que les parents tant bien que les enfants soient attachés les uns des autres. Les parents nourrissent toujours le désir de voir leurs enfants grandir ainsi que leurs petits-enfants sous le seuil de leur maison, car l’idée du communautarisme familial ne s’est jamais enfouie dans l’entendement ayitien depuis. 

Donc, Voir leurs enfants étant capable de voler de par leurs propres ailes constitue leur plus grande fierté, néanmoins les avoir encore près d’eux même avec leurs propres familles est encore un honneur et une joie inaltérable.  Par conséquent, cette façon ayitienne de vivre en communauté plus précisément en famille réunie, est sujette à d’innombrables critiques.  Certaines critiques vont à l’endroit des jeunes qu’on qualifie de parasites, qui veulent toujours même en étant adultes bénéficient de la largesse de leurs parents tout en se détournant de certaines responsabilités ; d’autres vont à l’endroit des parents qui souhaitent toujours avoir le plein contrôle du foyer de leurs enfants etc. Malgré les multiples critiques qu’on en fait, cette façon de faire constitue un point fort dans notre culture qui n’est du tout pas différent de certains pays européens comme l’Espagne par exemple. Je connais ici en Espagne des gens qui même à 40 ans sont encore sous le toit de leurs parents, et je suis plus que certain que les raisons ne sont pas différentes de celles d’Ayiti. Le cas exceptionnel que j’ai pu rencontrer, c’est un homme de 55 ans qui est encore chez ses parents. Je ne peux émettre aucune critique, mais tout bonnement je dois dire que c’est une affaire de culture et lorsqu’on parle de culture nous savons tous ce qu’elle représente pour un peuple. J’estime n’avoir pas cerné la question dans tous ces angles, c’est pourquoi je vous lance la balle afin de faire votre propre analyse. En outre, par le présent article je fais un rappel à tous les médisants qui voient uniquement le côté négatif du communautarisme familial sans prendre un peu de temps pour l’analyser sur son angle sociologique et culturel. Donc, avant de critiquer quoi que ce soit, il faut bien le cerner, pour ce faire il faut investiguer, car il est mauvais de s’entêter à dire du mal de ceux qu’on ne connait pas et mésinterpréter les choses qu’on ignore l’essence…

02 septiembre, 2013



Ces sept (7) conseils relatifs au maintien en bonne et due forme le ventre sont donnés à vous tous qui en avez marre d’être ventru. Si vous les suivez assidûment, il vous sera impossible de tomber dans l’obésité abdominale.  Ces derniers temps, nous constatons qu’il y ait un fort pourcentage d’obésité abdominale à travers le monde, une situation qui est due à une quantité de graisse

considérable ayant été accumulée au sein du corps. À noter qu’il y a 

4 types d'obésité sont décrits :


  • le type I : le surplus de graisse est réparti au niveau du corps sans localisation préférentielle ;
  • le type II : l'excès de graisse est concentré au niveau du tronc et de l'abdomen : il est question d'obésité androïde ;
  • le type III : l'accumulation de graisse se fait dans l'abdomen : il est question d'obésité viscérale ;
  • le type IV : la graisse se localise au niveau des hanches et des cuisses (niveau glutéofémoral) : c'est une obésité gynoïde.

Faites de l’exercice
De nombreuses études montrent que pour avoir un ventre plat, un régime ne suffit pas ! Pour perdre la graisse qui se loge dans notre abdomen, il est nécessaire de pratiquer une activité physique.

Dormez suffisamment
Des chercheurs américains ont mis en évidence un lien entre la durée du sommeil et le risque d’obésité abdominale. Ils ont montré que les jeunes adultes qui passaient moins de 5 heures par nuit dans les bras de Morphée avaient plus tendance à accumuler de la graisse viscérale que ceux qui dormaient 6 à 7 heures par nuit. En 5 ans ces petits dormeurs avaient vu leur taux de graisse viscérale augmenter de 32 % contre 13 % pour ceux qui affichaient 6 à 7 heures de sommeil. Les mêmes effets du manque de sommeil sont constatés chez l'adulte.

Evitez les graisses trans
Une étude menée chez le singe a montré que la consommation de graisses trans même en l’absence d’excès de calories favorisait la formation de graisse abdominale (2). Les graisses trans qui sont issues de l’hydrogénation des graisses végétales se trouvent dans tous les produits industriels contenant des huiles végétales hydrogénés. Pour savoir comment les contourner, lisez notre article Acide gras trans : comment les éviter.

Consommez moins de glucides, moins de graisses oméga-6, plus de graisses monoinsaturées et oméga-3
Un régime moins riche en graisses de la famille oméga-6 (huiles et margarines de tournesol, de maïs), plus riche en graisses monoinsaturées (huile d’olive, olive, avocat) et oméga-3 (huiles et margarines de colza, noix) pourrait prévenir l’obésité abdominale, selon des observations faites par des chercheurs espagnols.
A la suite de ces observations, une petite étude d’intervention é été conduite chez des volontaires (4). Elle a vérifié qu’avec un régime riche en graisses monoinsaturées, les graisses corporelles se concentrent moins dans la région abdominale qu’avec un régime riche en glucides (pain et dérivés, produits sucrés, pommes de terre). Cependant, dans cette étude les volontaires souffraient de résistance à l’insuline.
Une autre petite étude a été conduite à l’université Yale sur des volontaires en surpoids modéré. Elle semble confirmer qu’un régime plus riche en graisses monoinsaturées réduit la graisse viscérale de 33% en 28 jours. Au cours de cette étude, les volontaires ont perdu près de 4 kilos et près de 5 cm de tour de taille. L’étude n’a pas encore fait l’objet d’une publication.

Mangez des baies
Une étude de 2009 chez le rat – à confirmer chez l’homme – a trouvé qu’un régime riche en myrtilles réduit la graisse abdominale, « même lorsque les rats mangeaient très gras », souligne E. Mitchell Seymour, de l’université du Michigan. Les antioxydants des myrtilles (comme les anthocyanes) modifieraient le métabolisme du glucose, à l’origine de graisse abdominale.

Mâchez de la réglisse
Selon une étude japonaise de 2007, les flavonoïdes de la réglisse s’opposeraient à l’accumulation de graisse abdominale (5). Inutile de préciser, si vous voulez essayer, qu’un bâton de réglisse est plus approprié qu’un bonbon à la réglisse.

Références
(1) Hairston KG; Bryer-Ash M; Norris JM; Haffner S; Bowden DW; Wagenknecht LE. Sleep duration and five-year abdominal fat accumulation in a minority cohort: the iras family study. SLEEP 2010;33(3):289-295March 02, 2010
(2) Kavanagh K. Trans Fat Diet Induces Abdominal Obesity and Changes in Insulin Sensitivity in Monkeys. Obesity (2007) 15, 1675–1684; doi: 10.1038/oby.2007.200
(3) Garaulet M. Site-specific differences in the fatty acid composition of abdominal adipose tissue in an obese population from a Mediterranean area: relation with dietary fatty acids, plasma lipid profile, serum insulin, and central obesity. Am J Clin Nutr. 2001 Nov;74(5):585-91.
(4) Paniagua JA. Monounsaturated fat-rich diet prevents central body fat distribution and decreases postprandial adiponectin expression induced by a carbohydrate-rich diet in insulin-resistant subjects. Diabetes Care. 2007 Jul;30(7):1717-23. Epub 2007 Mar 23.
(5) Aoki F. Suppression by licorice flavonoids of abdominal fat accumulation and body weight gain in high-fat diet-induced obese C57BL/6J mice. Bioscience, biotechnology, and biochemistry 2007, vol. 71, no1, pp. 206-214.
source www.lanutrition.fr.