Les Fêtes de San Fermín, ou Fêtes de Saint
Firmin, en français, sont les fêtes célébrées chaque année du 6 au 14 juillet,
à Pampelune, capitale de la Navarre (Espagne), en honneur de saint Firmin.
Profondément ancrée dans la mémoire des espagnols depuis des siècles, cette
célébration a acquis au XXe siècle une renommée internationale. Il est de
coutume de considérer ces festivités comme les troisièmes du monde, en nombre
de participants, après le Carnaval de Rio au Brésil et la Fête de la bière à
Munich en Allemagne. Et on estime à 3 millions le nombre de personnes y participant
à chaque année pendant ces neuf jours.
Le san fermín qui est le saint Firmin en français,
était le fils du chef militaire romain de Pampelune. Étant converti par un chef
religieux, il partît se former à la vie ecclésiastique avant de commencer par évangéliser la Navarre.
Il assura dans sa vie religieuse la direction du diocèse d’Amiens, où il fut égorgé
par les autorités. Les travaux qu’il a réalisés
durant son évangélisation furent tellement positifs au point que de grandes célébrations
furent organisées en son honneur depuis.
Ainsi, les premières célébrations en son honneur
eurent lieu au cours du Moyen Âge, elles étaient alors organisées à l’occasion
du jour de saint Firmin, le 10 octobre. Peu à peu, d'autres types de
célébrations vinrent s'y greffer dès le XIVe siècle. Pour des raisons
climatiques évidentes, les fêtes furent avancées au mois de juillet en 1591
soit à la fin du XVI ème siècle. Progressivement, ces festivités se
sont développées jusqu’à devenir telles que nous les connaissons aujourd’hui
une fête à renommée mondiale.
Les Fêtes de San Fermín ont lieu du 6 au 14
juillet de chaque année. Chaque journée est parfaitement rythmée par les
différentes manifestations, organisées par la ville de Pampelune, et qui se
répètent inlassablement d'année en année. D'autre part, les associations,
sociétés festives et les simples groupes d'amis participent également à
l'animation de cette semaine festive, en organisant leurs propres programmes de
réjouissances.
Le coup d’envoi des fêtes est donné le 6
juillet à 12 heures précises sur la Plaza
Consistorial, devant la Mairie. Là, des milliers de personnes
agglutinées attendent impatiemment l’ouverture officielle des festivités, dans
un concert de chants, sous les jets de Cava (vin mousseux), de farine et autres
projectiles.
La partie la plus intéressante lors de ces
festivités demeure le moment où les taureaux courent après ceux qui s’alignent
dans le grand couloir avec sur eux des habits le plus souvent en blanc et un
foulard rouge noué autour de leurs cous. Plus d’un, pense que c’est de la
barbarie absolue, le fait que certains parmi ces gens qui courent au-devant des
taureaux peuvent se faire tuer, mais il faut se rappeler que le san fermín
demeure une affaire de culture remontant à un passé lointain.
Les taureaux par le tapage de la foule deviennent acharnés et enfoncent leurs cornes n’importe où ; il y eut toujours de blessés et souventefois morts s’ensuivent. Malgré le danger qui se représente, chaque année des centaines de milliers de participants viennent de partout de le monde pour y prennent part. Qui pis est, qu’il y ait des blessés graves ou des morts, la fête se poursuivre pendant tous les neuf jours. Nul ne peut oser dire que c’est de la barbarie puisqu’au niveau culturel il n’y a pas de supériorité, ni de barbarie, d’ailleurs toutes les cultures se valent. D’ailleurs la fête de san fermín qu’on nous l’avions dit ci-dessus est la troisième fête mondiale après le carnaval de Rio de Janeiro et la fête de la bière à Munich. C’est une manifestation culturelle comme dans d’autres pays, il faut l’apprécier à sa juste valeur.
Les taureaux par le tapage de la foule deviennent acharnés et enfoncent leurs cornes n’importe où ; il y eut toujours de blessés et souventefois morts s’ensuivent. Malgré le danger qui se représente, chaque année des centaines de milliers de participants viennent de partout de le monde pour y prennent part. Qui pis est, qu’il y ait des blessés graves ou des morts, la fête se poursuivre pendant tous les neuf jours. Nul ne peut oser dire que c’est de la barbarie puisqu’au niveau culturel il n’y a pas de supériorité, ni de barbarie, d’ailleurs toutes les cultures se valent. D’ailleurs la fête de san fermín qu’on nous l’avions dit ci-dessus est la troisième fête mondiale après le carnaval de Rio de Janeiro et la fête de la bière à Munich. C’est une manifestation culturelle comme dans d’autres pays, il faut l’apprécier à sa juste valeur.
Réjouissez-vous donc, en regardant cette vidéo
et ces photos ci-dessus.
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